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Printemps 2017, Isabelle Falcomata et Anne Piffard se rencontrent artistiquement dans l'improvisation et décident d'associer le fil d’équilibre et la musique pour faire grandir l’émotion du violoncelle et du chant dans le mouvement dansé. Au fil des projets, la danse aérienne se greffe au fil d’équilibre et les occasions invitent à des dispositifs toujours différents : tyrolienne, fil, voltiges sur des façades monumentales, au-dessus de l'eau...


Antoine Péré Brissaud,  la “troisième acCroche”, se joint parfois au duo pour réaliser les installations techniques ou à la danse aérienne.


En 2020, la Double acCroche aboutit la création de son spectacle "A travers", une forme de 45 minutes sur un dispositif de fils à deux niveaux, un terrain de jeu en forme d’écran géant propice à habiter un lieu de nature, à regarder devant soi…
La compagnie basée à Saint-Jean-du-Gard dans les Cévennes est produite par le Firmament Pneumatique. Elle est membre du réseau Arts Vivants en Cévennes.

Avec l'aide à la diffusion du Conseil Départemental du Gard

Elle, c'est la Croche

Anne Piffard

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   Depuis l’âge de 7 ans, le violoncelle l’accompagne sur son dos. Nourrie de complicité avec danseurs, circassiens, poètes et artistes, elle développe un univers singulier qui mêle violoncelle, chant et machines.

   En 2017, elle créée avec Isabelle Falcomata la cie la Double acCroche, qui associe danse sur le fil d’équilibre, danse aérienne, le violoncelle et le chant.

  En trio avec La Mèche, elle mène une expérience joyeuse et audacieuse du bal folk.

   Elle se forme à la voix au Roy Hart  et se nourrit des sonorités exceptionnelles du chant géorgien avec l'ensemble Madlobeli.

  Elle enseigne le violoncelle à l’école de musique du Vigan.

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Et elle, l'Accroche

Isabelle Falcomata

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   Ses premières accroches dans les airs, c'est sur les rochers d'escalade.

   Elle poursuit son vol sur un tissu aérien où elle découvre les arts du cirque à 26 ans.

   Tout d'abord en tant que pédagogue en cirque adapté, elle se nourrit de la richesse d'expression, la sensibilité que lui communiquent les personnes en situation de handicap.

   La suite, tout se mélange, pour en arriver à l'envie de s'exprimer par le corps, dans les airs.

   Elle co-crée en 2013 la Cie Les Têtes Bêches avec qui elle travaille pendant 4 ans en danse aérienne dans les arbres et sur façade.

   Aujourd'hui, ses pieds se posent un peu plus à la verticale, glissent, dansent sur le fil, même si l'appel de la tête en bas revient assez vite avec un nouveau travail sur câble à 2 étages.

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